Le fabuleux destin d'Alessandra Sublet

La nouvelle étoile montante de M6 -
Le fabuleux destin d'Alessandra Sublet

Depuis la rentrée 2006, cette charmante Lyonnaise de 30 ans dotée d'un incroyable talent d'animatrice est la nouvelle étoile montante de M6. Elle présente pour la première fois ce soir, en prime time, «Classé confidentiel».

TV Magazine : Racontez-nous une anecdote sur le tournage de cette spéciale.
Alessandra Sublet : Pour l'émission, on m'a conseillé de porter une robe très glamour. J'ai osé la porter, mais j'avoue que j'étais davantage préoccupée par le décolleté de ma robe que par le lancement de mes textes! La robe n'avait rien d'outrageant, mais je suis plutôt du genre à porter des jeans avec des bottes. J'avais peur d'être à moitié nue sur la scène! (Rires.)

TV Magazine : Enregistrer des émissions vous procure-t-il les mêmes sensations que faire du direct?
Alessandra Sublet : J'ai adoré enregistrer le premier épisode du «Bonheur est dans le pré», dans lequel on rencontre les neuf agriculteurs. L'émission sera diffusée le 27 décembre en deuxième partie de soirée. En revanche, faire une émission en direct, comme «Incroyable talent», me procure une vraie dose d'adrénaline. Le direct se perd de plus en plus à la télévision, c'est bien dommage. Je retrouve cette dose que j'ai connue lorsque j'étais en classe de sport-études. J'allais à l'école le matin et je faisais de la danse classique tous les après-midi. Je rêvais de devenir petit rat de l'Opéra, mais j'ai été recalée car j'étais trop petite...

TV Magazine : Quel est votre parcours?
Alessandra Sublet : J'ai commencé une école de journalisme que j'ai arrêtée au bout de six mois. Je suis partie en Afrique du Sud pour de l'humanitaire, puis j'ai travaillé dans un journal local aux Antilles. Ensuite, je faisais des interviews pour MTV à New York. De retour en France, je suis devenue responsable marketing dans le groupe de presse Emap. Au bout d'un an, j'ai passé des castings et j'ai rencontré Christophe Dechavanne. Travailler avec lui et Jean-Pierre Pernaut dans «Combien ça coûte» a été une superbe expérience. J'ai aussi adoré travailler avec Bruce Toussaint sur «La matinale» de Canal+.

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