Elle est là
C’est une double rentrée qu’a effectuée Alessandra Sublet, sur Europe 1 et TF1. A cette occasion, l’animatrice pose en couverture de ELLE et se confie dans un portrait en musique (stadire en musique ?). A l’aise avec son image, elle avoue que les réseaux sociaux l’ont aidée à accepter le revers de la médaille, qui vous expose quand vous êtes l’une des figures les plus puissantes des médias. « J’ai capté un truc avec le pouvoir des réseaux sociaux. C’est un déversoir absolu qui a pour principale vertu de m’avoir appris à laisser glisser les critiques et d’en jouer, aussi », explique-t-elle. L'animatrice revient d’ailleurs sur sa coupe de cheveux signature, et de la réaction de son coiffeur qui lui avait expliqué que « ça ne se (faisait) pas » d’avoir la coupe garçonne lorsqu’elle lui avait exprimé son projet. « Ben, justement ! », lui avait-elle alors rétorqué.
Alessandra Sublet profite de son interview pour citer les hommes de sa vie, son père, « un dandy qui pouvait porter un trois-pièces et marcher pieds nus », ressemblant à Gainsbourg, mais aussi son mari, Clément, dont elle dit : « J’avais besoin de trouver un homme qui ait une part de féminité et qui fasse résonner la mienne. »
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